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Un soir chez Paulette

Le 4 mai j'étais "Chez Paulette". En fait ce haut lieu de la culture rock française qui existait déjà du temps où j'étais étudiant (dans les année 70) s'appelle désormais "Paulette Station Rock". Ce pub-rock est situé à Pagney-derrière-Barine, près de Toul (donc pas loin de Nancy). Même sur une carte, vous aurez du mal à trouver!

Le 4 mai Elliott Murphy s'y produisait (pour la quatrième fois). Après une première partie "lourde" (Neal Black qui jouait du hard-blues-rock en faisant fumer sa Gibson Flying V et en buvant de la bière), le dandy parisien de New York est arrivé accompagné de ses harmonicas, de son chapeau (noir ce soir-là) et du fidèle et sublime Olivier Durand aux guitares, bientôt rejoints par Laurent Pardo (basse) et Alan Fatras (batterie). Et c'était parti pour 2 heures de bonheur (le set a dû démarrer vers 23 heures!).

Quelques grands titres du répertroire folk-rock (plus rock que folk ce jeudi): "Diamonds by the Yard", "You never know what you're in for", "On Elvis Presley's birthday", "The day after Valentine's day", "Winners, Beggars, Losers, Chosers", "Green River" et beaucoup d'autres. Des reprises "Highway 51" de Dylan, "The thrill is gone" de B.B. King, "Terraplane blues" de Robert Johnson ou "I'm on fire" de Springsteen. Et pour finir un medley endiablé avec "L.A. woman" des Doors enchaîné avec quelques classiques du blues.

C'était trop court, mais il était tard. Mais pour ceux qui ne le connaissent pas encore, il n'est pas trop tard, Elliott sort régulièrement des disques d'une grande qualité. Et son répertoire est digne de celui de ses modèles (et amis): Bruce Springsteen, Bob Dylan, Neil Young ou Lou Reed.

Et Olivier Durand est un sacré guitariste...

Commentaires

  • Elliott is the real thing .

  • Je ne connais pas Olivier DURAND.
    Les Doors, cela me rappelle une fin d'année scolaire (lycée), le mois de juin, une bien belle année où l'on passait des disques pour finir l'année, avec ses copains et copines de classe. Nous étions insoucients...

  • Il nous reste leurs disques, leur musique profonde, unique.
    Je mets la drogue de côté...

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