Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Crossroads #50

medium_Crossbraz50.jpgAttention, ceci est une publicité!

L'excellent mensuel "Crossroads" vient de se fendre d'un numéro encore plus exceptionnel qu'à l'habitude. Autour de son Rédac' Chef Christophe Goffette, l'équipe a réalisé un ouvrage qui sera une compagnie pour les longues soirées d'hiver au coin du feu.

Je rappelle que "Crossroads", c'est aussi "Brazil", un magazine de cinéma ma foi fort intéressant.

À côté des rubriques habituelles, vous trouverez plusieurs dossiers passionnants: 50 albums mythiques, 40 films cultes, 30 disques pour réhabiliter les 80's, 20 concerts de légende, 10 pagespour en finir avec 2006.

Précipitez-vous, je doute qu'il y en ait pour tout le monde.

Que l'occasion me soit donnée de remercier Jacques-Eric Legarde, récemment débarqué dans l'équipe rédactionnelle et qui parvient encore à me faire découvrir des artistes passionnants. Les derniers: Eric Taylor mais surtout Sam Baker, Alastair Moock et Cormac McCarthy. Rien que pour les noms on a envie de connaître!

Et merci aussi à Jerôme Pintoux d'avoir chroniqué une réédition des 3 premiers Bee Gees (même s'il les naturalise Australiens alors que chacun sait qu'il sont Anglais).

http://www.banditscompany.com

 

Commentaires

  • merci pour la pub pour crossroads
    c'est sympa de votre part
    je croyais vraiment que les Bee Gees étaient Australiens, je vous prie de m'excuser !
    jerome pintoux

  • Tiens, au sujet de ce numéro de Crossroads (que j'ai acheté après avoir lu ton article) : il y a un truc bizarre au sujet de "Rock Bottom" de Robert Wyatt, car celui qui a écrit ce texte passe un peu trop vite, selon moi, du moment où Wyatt a quitté Soft Machine à celui de son accident. C'est oublier, tout de même, que le batteur avait fondé entre temps Matching Mole (appréciez l'humour franco-anglais de l'ami Robert), une formation passionnante qui avait sorti deux albums excellents (avec sur le premier, le sublime "Ô Caroline").
    Sinon, pour le reste, je me suis rendu compte que j'avais ici, en la Maison Rose, la possibilité d'écouter 17 de ces 50 disques.

  • On peut passer sur quelques inexactitudes et oublis compte tenu de la qualité de l'ouvrage... Mais c'est vrai qu'il eut été bien de citer Matching Mole...
    Pour les albums mythiques, je suis presque à 50% (24).

  • j'avais raison pour les bee gees : ils sont bel et bien Australiens

  • bonjour Jérôme,

    je ne sais pas s'ils ont pris la nationalityé australienne, mais ce sont biens des anglais de naissance :-)

    The Gibb brothers were born on the Isle of Man to English parents in 1946 (Barry, born Barry Alan Crompton Gibb, September 1) and 1949 (fraternal twins Robin and Maurice, born respectively as Robin Hugh Gibb and Maurice Ernest Gibb, December 22).

    The family returned to father Hugh Gibb's home town of Chorlton-cum-Hardy, Manchester, England in the early 1950s where the boys began to sing in harmony, debuting in public on one memorable occasion at a local cinema. The boys were going to lip sync to a record, which other children had done at the cinema in previous weeks. However, as they were running to get there, Maurice dropped the record on the street, causing it to break. As a result, the brothers got on stage and sang themselves. They got a very good response from the crowd, which convinced them that singing was what they wanted to do with their lives.

    In 1958, the Gibb family, including infant brother Andy (born March 5, 1958 in Manchester, England), emigrated to Redcliffe in Brisbane, Queensland, Australia. The still very young brothers began performing where they could to raise pocket change. First called the Rattlesnakes, later Wee Johnny Hayes & the Bluecats, they were introduced to radio DJ Bill Gates (not to be confused with the founder of Microsoft) by racetrack promoter Bill Goode (who saw them perform at Brisbane's Speedway Circus). Gates renamed them after his and Goode's initials – thus the name was not simply a reference to the brothers Gibb.[2][3]

  • Merci Hervé pour ces précisions. J'ajouterai que l'on peut trouver l'intégrale de leurs enregistrements australiens (ainsi que l'histoire de leurs débuts) sur une excellente compilation: "The Bee Gees - Brilliant From Birth" sur le label Australien Spin (Festival Records) D46066. Ce double CD regroupe tout ce qui était paru chez nous vers la fin des années '60 / début '70 ("Rare, Précious & Beautiful" vol. 1 à 3, et "Inception / Nostalgia") avec 2 ou 3 inédits. Mais les Bee Gees sont bel et bien Anglais.

  • désolé, il y a donc eu confusion de ma part
    je vous renouvelle mes excuses
    c'est un ami hier qui m'a dit : tu sais, tu avais raison, ce sont des Australiens
    A la fin des années 60, les revues de rock les présentaient comme des Australiens, et j'ai reconduit l'erreur
    jerome pintoux

  • Maurice Ernest! Quel prénom ;-)))

  • Ouaip! Drôle de prénom! Mais ça ne lui a pas porté chance...

Les commentaires sont fermés.